Actualités : DPJ

Mots clés: Bilan , DPJ , Jeunesse

Le 13 juin 2023, Mme Sylvie Leblond, Directrice du programme jeunesse et Directrice intérimaire de la protection de la jeunesse dépose le bilan annuel.

La Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents (LSJPA) prévoit que l’évaluation des jeunes qui ont commis des délits et la réponse aux besoins en matière de protection de la société et de réinsertion sociale des contrevenants soient confiées dans chaque province au « directeur provincial ». Au Québec, ce sont les DPJ qui se sont vu attribuer ce rôle. Pour ce 20e bilan des DPJ/DP, et afin de souligner le 20e anniversaire de la mise en application de la LSJPA, nous souhaitons présenter la situation de ces jeunes et les services qui leur sont offerts sous notre responsabilité.

Histoires d’adolescents contrevenants

Afin de donner un visage humain aux chiffres et rappeler que derrière chaque statistique se trouve un jeune qui vit de nombreuses difficultés, les DPJ/DP vous présentent cinq histoires d’adolescent, sous forme de récits numériques. Les histoires sont réelles, seuls les prénoms ont été changés pour préserver l’anonymat des jeunes. Nous les avons appelés Rosalie, Tommy, Maxime, Samuel, et K.
Pour lire ces histoires ainsi que plusieurs témoignages des acteurs sociaux et judiciaires, cliquez ici.

Pour plus d’informations : Bilan DPJ 2023 - CISSS de l'Abitibi-Témiscamingue 

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20e Bilan des directeurs de la protection de la jeunesse - En équilibre vers l'avenir

Mme Sylvie Leblond, Directrice du programme jeunesse | Directrice intérimaire de la protection de la jeunesse dépose aujourd’hui le bilan annuel.

 

Documents en lien

 

Histoires d’adolescents contrevenants

Afin de donner un visage humain aux chiffres et rappeler que derrière chaque statistique se trouve un jeune qui vit de nombreuses difficultés, les DPJ/DP vous présentent cinq histoires d’adolescent, sous forme de récits numériques. Les histoires sont réelles, seuls les prénoms ont été changés pour préserver l’anonymat des jeunes. Nous les avons appelés Rosalie, Tommy, Maxime, Samuel, et K.

Pour lire ces histoires ainsi que plusieurs témoignages des acteurs sociaux et judiciaires, cliquez ici.