Actualités : Santé physique

Le programme BTBP, déployé par ÉquiLibre, s’adresse autant aux jeunes du primaire qu’à ceux du secondaire. Le programme regroupe des ateliers dont le contenu diversifié est téléchargeable gratuitement directement sur le site d’ÉquiLibre.

Il vise non seulement à faire réfléchir les jeunes et les adultes sur la perception qu’ils ont de leur apparence physique et de celle des autres, mais aussi de faire prendre conscience aux adultes du rôle de modèle et d’accompagnateur qu’ils ont à jouer dans la promotion de la diversité corporelle, du respect des autres et de l’adoption de saines habitudes de vie.

Différents thèmes sont abordés dans les ateliers, tels que la diversité corporelle, le plaisir de manger, l’acceptation des changements corporels, l’image sur les réseaux sociaux et l’influence des médias et de la société.

Les ateliers qui sont destinés aux élèves du primaire touchent principalement l’adoption de saines habitudes de vie et le développement d’une image corporelle positive. Ceux qui visent les élèves du secondaire portent sur les croyances et les normes associées à l’apparence physique en vue de porter un regard critique sur celles-ci.

Vous y trouverez des ateliers comme :

Mots clés: Santé physique

Pour se rendre à l’école à vélo, le personnel et les élèves doivent prendre quelques précautions pour assurer leur sécurité, mais aussi rendre le déplacement le plus agréable possible.

Proposer aux élèves et à leurs parents de faire ensemble le parcours à vélo vers l’école, une journée qu’il n’y a pas de classes. Cette petite randonnée permettra de valider le chemin à privilégier, les habilités de l’enfant, de trouver une place sécuritaire pour stationner le vélo et de confirmer que le matériel est en bon état (vélo, casque, cadenas). La même stratégie s’applique aux adultes et aux adolescents.

À la recherche d’autres trucs et astuces? Visitez la page consacrée au milieu scolaire de Vélo Québec.

Mots clés: Santé physique

Les virus du papillome humain (VPH) sont principalement transmis par voie sexuelle. On compte plus de 100 types de virus, parmi lesquels on retrouve :

  • les VPH à faible risque de cancer, dont certains causent les condylomes;
  • les VPH à risque élevé de causer des cancers.

 

Une personne peut être infectée par plusieurs types de VPH et peut être infectée à plusieurs reprises sans présenter de symptômes apparents. Le virus peut rester longtemps dans l’organisme, entraînant des lésions et évoluant vers un cancer. Souvent associés au cancer du col de l’utérus, les VPH peuvent également toucher les hommes et les femmes, car l’infection peut évoluer vers d’autres types de cancers, tels que :

  • le cancer de l’anus;
  • le cancer du vagin;
  • le cancer du pénis.

 

La vaccination reste le meilleur moyen de se protéger contre les infections à VPH. Elle permet également de prévenir les complications. Au Québec, le Programme québécois d’immunisation offre la vaccination gratuite contre les infections à VPH aux personnes suivantes :

  • les élèves de la 4e année du primaire;
  • les jeunes âgés de 9 à 20 ans;
  • les personnes âgées de 21 à 45 ans, dont le système immunitaire est affaibli;
  • les personnes infectées par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH);
  • les hommes de 26 ans et moins ayant ou prévoyant avoir des relations sexuelles avec des hommes.

 

Si vous n’avez pas bénéficié de la vaccination vous pouvez prendre rendez-vous dès aujourd’hui dans l’un des points de services locaux par :

 

À consulter :

Certains facteurs augmentent le risque de développer un cancer colorectal. Avoir une saine hygiène de vie est l’un des moyens qui peut réduire votre risque de cancer colorectal.

L’alimentation joue un rôle crucial dans la santé digestive. En effet, les fibres semblent réduire le risque de développer un cancer colorectal. Consommer entre 20 et 35 grammes de fibres par jour pourrait être bénéfique. Il est donc recommandé d’intégrer quotidiennement des fruits, des légumes, des pains à grains entiers, des céréales, des noix, des fèves et des légumes verts.

 

Autres conseils pour diminuer les risques :

  • adopter une alimentation faible en gras;
  • éviter la consommation excessive d’alcool;
  • cesser ou diminuer votre consommation de tabac;
  • pratiquer quotidiennement 20 à 30 minutes d’exercice modéré.

 

Le dépistage précoce augmente les chances de survie

Saviez-vous que 90 % des cancers colorectaux peuvent être guéris s’ils sont découverts tôt? Au-delà d’une hygiène de vie saine, le dépistage du cancer colorectal est essentiel. Le risque de développer un cancer colorectal augmente avec l’âge. Cependant, certaines personnes sont à risque en raison de leurs antécédents médicaux ou familiaux. Vous vous demandez si vous devriez passer un test de dépistage? Si vous avez des antécédents familiaux de cancer colorectal, le test de dépistage est recommandé.

Le fait de présenter un facteur de risque associé à ce type de cancer n’indique pas que vous aurez la maladie. Cependant, vous devriez consulter un professionnel de la santé ou faire un test de dépistage si vous répondez oui à l’un des énoncés suivants :

  • Vous avez plus de 50 ans.
  • Vous ou un membre de votre famille avez des antécédents de polypes intestinaux, de cancer de l’endomètre, des ovaires ou de l’estomac.
  • Vous souffrez d’une maladie inflammatoire de l’intestin, comme la maladie de Crohn ou la colite ulcéreuse.

 

Trousse de dépistage gratuite

Soulignons que peu importe votre situation, si vous êtes âgé entre 50 à 74 ans, vous pouvez obtenir la trousse de dépistage gratuitement et sans requête d’un médecin. Le test immunochimique est simple et la collecte d’échantillon de selles se fait à la maison. Pour savoir si vous êtes admissibles et pour prendre rendez-vous :

 

À consulter :