Actualités : famille

Afin de souligner la saison estivale auprès des aînés, le CHSLD de Val-d'Or a offert, avec l’aide d'une équipe composée de partenaires et de jeunes bénévoles, un dîner barbecue le 25 août dernier. Au menu : « hotdog », épis de maïs et de la bonne humeur ! Cette activité avait pour but de mobiliser la participation des proches aidants et des personnes hébergées, tout en leur offrant un moment agréable autour de tables bien garnies.

Cet événement rassembleur, très apprécié des résidents et de leurs familles, a permis de dynamiser le milieu d’hébergement, de briser l’isolement de la personne hébergée et offrir un repas qui sort de la routine quotidienne.

L’importance de réaliser des activités favorisant la participation sociale de la personne hébergée et ses interactions avec la communauté constitue d’ailleurs un des axes que l’on peut retrouver dans la Politique et de soins et services de longue durée (PHSSLD).

Merci à Lauraine Fortin-Gingras (Aide de services aux loisirs) pour l’organisation, aux jeunes bénévoles de la fondation Sunny, à Annie Geneau (physiothérapeute en santé publique), Kathy Rémillard (Récréologue de la maison des ainés) ainsi qu’aux membres du personnel, PAB, Infirmières, cuisiniers impliqués dans cette activité.

Mots clés: famille , petit

La Grande semaine des tout-petits aura lieu du 15 au 21 novembre 2020. Cette semaine vise à souligner l’extraordinaire apport des enfants de 0 à 5 ans à la société et à mettre en lumière l’importance de leur bien-être. En effet, bien que les 10 000 tout-petits représentent 6,5 % de la population de l’Abitibi-Témiscamingue, ils sont également 100 % de notre avenir.

Le contexte de la Covid-19 a grandement affecté les familles et les tout-petits. Saviez-vous que, avant même le début de la pandémie qui a accru la pression sur les familles, 55 % des parents québécois seraient prêts à changer d’emploi si on leur offrait de meilleures mesures de conciliation travail-famille? Que la conciliation travail-famille est une source de stress importante pour 66 % des parents d’enfants de 0 à 5 ans?

En tant qu’employeurs, vous pouvez faire une différence dans la vie des tout-petits de l’Abitibi-Témiscamingue, notamment en offrant des mesures de conciliation travail-famille. Celles-ci apportent de nombreux bénéfices pour les entreprises ou organisations, tels que :

  • L’augmentation de la productivité;
  • Une atmosphère détendue dans l’organisation;
  • Un recrutement plus facile;
  • Une diminution des absences;
  • Une meilleure rétention du personnel.

Parmi les mesures les plus utilisées par les parents figurent :

  • La flexibilité des horaires de travail – 52 % des parents;
  • La flexibilité dans le choix des vacances – 42 % des parents;
  • Les congés payés pour des responsabilités familiales – 34 % des parents.

 

Comme l’indique la brochure, ces pistes d’actions ne constituent que des exemples. Une réflexion peut aussi se faire au sein de votre entreprise ou organisation autour des questions suivantes :

  • Que faisons-nous concrètement pour expliquer aux employés qu’il est souhaitable qu’ils utilisent les mesures offertes par notre entreprise?
  • Sommes-nous des modèles inspirants pour nos employés en matière de conciliation travail-famille?

En tant que gestionnaire, il est également important :

  • D’être un modèle en utilisant ces mesures et politiques de conciliation travail-famille et de le faire ouvertement pour que les employés soient au courant;
  • De faire preuve de proactivité devant un employé ayant des difficultés de conciliation travail-famille et de lui proposer de se prévaloir de l’une des mesures instaurées dans l’entreprise.

Toutes les mesures de conciliation travail-travail qui étaient importantes et nécessaires avant le contexte de la Covid, le sont d’autant plus à l’heure actuelle. En améliorant le bien-être des personnes à votre embauche, vous contribuez à celui de leur enfant. Votre implication est importante et a des impacts réels.

http://grandesemaine.com/

Mots clés: famille

Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de l’Abitibi Témiscamingue est fier d’annoncer que le programme novateur Ma famille ma communauté est maintenant accessible partout sur le territoire de l’Abitibi-Témiscamingue, tant dans les communautés autochtones que non autochtones. Mis en place en 2012, d’abord sous forme de projet pilote, Ma famille ma communauté vise à mobiliser les ressources des communautés et les associer de près à la protection des enfants.

« Les objectifs sont de réduire le nombre de placements d’enfants, favoriser le maintien des enfants dans leur communauté, réduire la durée des placements et réduire le nombre de déplacements d’une ressource d’hébergement à une autre. Le programme s’adresse aux enfants suivis en vertu de la Loi sur les services de santé et services sociaux ou de la Loi sur la protection de la jeunesse », mentionne Sylvie Leblond, directrice du programme jeunesse au CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue.

L’élément central du programme repose sur une rencontre nommée Processus décisionnel en équipe (PDÉ) qui est proposée aux parents et organisée rapidement lorsqu’il y a un risque de placement, de déplacement ou une possibilité de retour à la maison pour un enfant.

« Un facilitateur neutre et non décisionnel anime cette rencontre où sont réunis les invités choisis par les parents (intervenants du CISSS, représentants d’organismes communautaires, famille, amis, personnes significatives, experts). Tous prennent part à la planification de la meilleure décision pour l’enfant concerné. La rencontre se déroule dans un endroit neutre et non dans les locaux du CISSS. À l’issue de la rencontre, une décision est prise et un plan de sécurité et de soutien est déterminé », précisent Laurence Patenaude et Roch Riendeau, professionnels œuvrant au programme.

Le plan de sécurité implique les différents partenaires représentés lors de la rencontre afin d’assurer le succès de celui-ci. Par exemple, un organisme peut s’engager auprès des parents afin de les soutenir dans leur rôle, une voisine peut offrir du gardiennage, une grand-mère peut offrir un soutien au niveau de la préparation des repas, etc.

« Nous sommes fiers d’affirmer aujourd’hui que nous sommes la première région au Québec à offrir ce programme partout sur le territoire, incluant les communautés autochtones. Nos statistiques démontrent le succès de Ma famille ma communauté. En 2018-2019, 78 rencontres PDÉ ont eu lieu, impliquant ainsi 124 enfants.

« À l’issue des rencontres, le taux de maintien dans le milieu où se trouvait l’enfant est de 76 %. C’est-à-dire qu’il n’y a pas eu de placement ou de changement de milieu. Le programme permet aussi le maintien plus grand des liens avec les personnes significatives autour de l’enfant, dans un environnement plus connu et donc plus rassurant », soulignent les professionnels.

Autre statistique intéressante, 47 % des participants au PDÉ provenaient de la famille élargie, de l’entourage et des partenaires communautaires alors que les intervenants du CISSS ne représentaient que 34 %.

Le CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue tient à souligner la collaboration et l’ouverture des partenaires impliqués dans le programme Ma famille ma communauté ainsi que les familles. Tous travaillent dans un but commun : le bien-être des enfants de notre région.

 

[Lien vers le communiqué]

 

Mots clés: famille , heures , patient , visite

Le président-directeur général du Centre intégré de santé et des services sociaux (CISSS) de l’Abitibi-Témiscamingue est heureux d’annoncer l’harmonisation des heures de visite dans les unités de courte durée* des hôpitaux et des centres multiservices de la région, et ce, à compter du 18 février 2019.

 

Suite à un recensement des meilleures pratiques dans les différentes installations de la région, il a été convenu d’harmoniser les heures de visite de 9 h à 21 h, 7 jours sur 7. « Il s’agit d’une amélioration importante du service autant pour les usagers hospitalisés et leurs visiteurs que pour les membres du personnel », mentionne Yves Desjardins, président-directeur général du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue. Il est important de préciser que les heures de visite pourraient être modifiées pour un usager en fonction de sa condition clinique.

 

En cohérence avec la vision de l’établissement de faciliter l’expérience usager avec les bonnes pratiques organisationnelles, le conseil d’administration a appuyé cette démarche et reconnait que l’hospitalisation pour un usager est un événement majeur et que la présence de visiteurs aide à rendre le séjour plus agréable.

 

Il faut noter que certaines particularités s’appliquent, notamment aux soins intensifs et aux urgences. Dans ces unités, un maximum de deux visiteurs par usager sera permis à raison de 15 minutes par heure.

 

Afin d’assurer la sécurité et la quiétude des usagers, il est important de rappeler que les visiteurs ont la responsabilité de :

  • Respecter les règles d’hygiène de base, particulièrement, en se lavant les mains.
  • Éviter de visiter leurs proches s’ils présentent des symptômes reliés à une maladie contagieuse.
  • Assurer la surveillance de tout visiteur âgé de 12 ans et moins qui les accompagne.
  • Respecter les consignes du personnel qui doit prodiguer des soins.
  • Respecter la quiétude et la tranquillité des usagers et des proches qui partagent des chambres.
  • Ne pas prendre de photo ou de vidéo sans le consentement formel de toute personne qui y apparaît afin de respecter la confidentialité des usagers et les droits des intervenants.

 

Le CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue profite de l’occasion pour remercier tous les membres du personnel qui contribuent à la réalisation de ce grand projet.

 

Par ailleurs, les visiteurs sont invités à contribuer positivement au séjour des usagers en participant activement aux soins de leur proche hospitalisé, notamment, en aidant celui-ci à marcher, à effectuer les soins d’hygiène, à veiller à l’alimentation et bien plus encore.

 

Toujours dans l’optique d’améliorer les soins et services aux usagers et parce que le CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue reconnait que la présence des proches diminue le stress, en plus d’améliorer
les résultats de santé et l’expérience de l’usager, une politique est actuellement en cours d’élaboration afin de développer l’approche partenaire de soins, approche déjà appliquée dans quelques CISSS et CIUSSS au Québec.

* Unités de courte durée : unité mère-enfant, unité de santé mentale, pédiatrie, médecine-chirurgie, soins intensifs et urgence.