Actualités : Mois thématique

Mots clés: Mois thématique

Voici quelques conseils pour réduire les risques et assurer un environnement sécuritaire :

  1. Aménager adéquatement le domicile :
    • garder les passages dégagés et bien éclairés;
    • éviter les tapis glissants et fixer les coins de tapis au sol;
    • installer des rampes et des barres d’appui dans les escaliers et les salles de bain.

 

  1. Porter des chaussures appropriées :
    • choisir des chaussures avec des semelles antidérapantes;
    • éviter les pantoufles sans soutien ou les chaussures à talons hauts.

 

  1. Améliorer l’éclairage :
    • utiliser des ampoules à haute luminosité dans toute la maison;
    • installer des veilleuses dans les couloirs et les escaliers.

 

  1. Faire de l’exercice régulièrement :
    • pratiquer des activités qui améliorent l’équilibre et la force;
    • consulter un professionnel de la santé pour des exercices adaptés à la condition physique.

 

  1. Utiliser des aides techniques :
    • si nécessaire, utiliser une canne ou un déambulateur pour plus de stabilité;
    • s’assurer que ces aides sont bien ajustées et en bon état.

 

  1. Prendre soin de sa santé :
  • faire vérifier régulièrement votre vue et votre audition (portez vos lunettes comme prescrit);
  • prendre les médicaments comme prescrit et s’assurer de connaître les effets secondaires pouvant affecter l’équilibre. Au besoin, consulter le pharmacien;
  • se lever lentement d’un fauteuil ou du lit pour éviter les étourdissements;
  • maintenir une alimentation saine et une bonne hydratation au quotidien;
  • limiter la consommation d’alcool et de drogues, car cela peut réduire les réflexes d’équilibre.

 

En suivant ces conseils, il est possible de réduire considérablement le risque de chutes et de créer un environnement sécuritaire. N’hésitez pas à consulter un professionnel de la santé pour des recommandations personnalisées.

Saviez-vous que le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de l’Abitibi-Témiscamingue offre un programme de prévention des chutes, connu sous le nom de Programme intégré d’équilibre dynamique (PIED)?

Pour plus de détails : https://www.cisss-at.gouv.qc.ca/prevention-des-chutes/

Mots clés: Handicap , Mois thématique

Il s'agit d'un moment privilégié pour reconnaître les talents, le potentiel et la contribution essentielle des personnes handicapées dans l’économie et les communautés.

Pourquoi l’inclusion est essentielle?

Embaucher des personnes handicapées ne se résume pas à combler un poste. C’est un geste concret pour construire une société plus juste et égalitaire, où chacun a la possibilité de contribuer selon ses compétences et ses talents.

En 2022, environ 21 % des Québécoises et Québécois âgés de 15 ans ou plus vivants en ménage privé avaient une incapacité. [i]Cette population représente un vivier de talents souvent sous-estimé, mais capable d’apporter des solutions créatives, de l'engagement et une grande résilience face aux défis.

 

Les avantages de l’embauche de personnes handicapées

  • Accroître la productivité : Les études montrent que les personnes handicapées sont souvent très motivées et loyales envers leur employeur, ce qui se traduit par une productivité accrue.
  • Diversifier les compétences : Les personnes handicapées apportent des compétences variées, qu’elles soient techniques, relationnelles ou adaptatives, et enrichissent ainsi les équipes de travail.
  • Renforcer l’image de l’entreprise : Une entreprise inclusive se démarque par son engagement social et peut attirer des clients et partenaires sensibles à ces valeurs.
  • Bénéficier de soutiens financiers : Plusieurs programmes et mesures gouvernementales sont disponibles pour accompagner les entreprises dans l’embauche et l’intégration de personnes handicapées.

 

Comment faire une différence?

Les entreprises ont un rôle crucial à jouer pour créer des environnements de travail inclusifs. Il est important de mettre en place des processus de recrutement accessibles, d'adapter les lieux de travail et de promouvoir une culture d'inclusion à tous les niveaux. Chaque employeur peut contribuer à changer les perceptions et à ouvrir la porte à une main-d'œuvre diversifiée et talentueuse.

Rejoignez le mouvement!

En ce mois de sensibilisation, réfléchissez aux actions que vous pouvez entreprendre pour faire de votre milieu de travail un lieu plus inclusif. Que ce soit par l’embauche d’une personne handicapée, la sensibilisation de votre personnel ou l’adaptation de vos installations, chaque geste compte pour bâtir un avenir plus équitable.

Pour en savoir plus sur les programmes et ressources disponibles, visitez Quebec.ca/entrepriseinclusive ou le site de l’Office des personnes handicapées du Québec : ophq.gouv.qc.ca.

[i] https://www.quebec.ca/famille-et-soutien-aux-personnes/participation-sociale-personnes-handicapees/statistiques

Mots clés: Mois thématique

Les ergothérapeutes jouent un rôle essentiel en aidant les patients à retrouver leur autonomie dans les activités quotidiennes, contribuant ainsi à améliorer leur qualité de vie.

Le champ d’exercices de l’ergothérapie se définit ainsi :

  • Évaluer les habiletés fonctionnelles d’une personne;
  • Déterminer et mettre en œuvre un plan de traitement et d’intervention, développer, restaurer ou maintenir les aptitudes;
  • Compenser les incapacités, diminuer les situations de handicap;
  • Adapter l’environnement dans le but de favoriser l’autonomie optimale de l’être humain en interaction avec son environnement.

 

Ainsi, dans sa pratique, l’ergothérapeute garde toujours en tête le but de favoriser l’autonomie des personnes, de leur permettre d’avoir une qualité de vie satisfaisante, de faciliter leur maintien dans un milieu de vie répondant à leurs besoins et à leurs préférences, et de faciliter leur intégration dans la communauté. Par sa vision globale de la personne, l’ergothérapeute met en relation les facteurs personnels de la personne avec son environnement et ses occupations significatives. L’activité est au cœur de l’exercice de l’ergothérapie, à la fois comme objet d’expertise et moyen thérapeutique privilégié.

Dans la grande majorité des trajectoires clientèle, vous trouverez des ergothérapeutes soucieux de l’autonomie et de la qualité de vie des usagers, quelle que soit leur raison de consultation.

Profitez du mois d’octobre pour en apprendre davantage sur cette profession. Pour en savoir plus sur le rôle de l’ergothérapeute, visitez le site de l’Association canadienne des ergothérapeutes.

Mots clés: Mois thématique

Une commotion cérébrale peut survenir à la suite d’un coup à la tête ou d’un mouvement brusque qui secoue le cerveau, entraînant une perturbation temporaire du fonctionnement cérébral.

Le Traumatisme craniocérébral léger (TCCL) : Comprendre et prévenir

Le traumatisme craniocérébral léger (TCCL) est une blessure fréquente à la tête résultant d’un impact ou d’une secousse violente du crâne. Bien que qualifié de “léger”, le TCCL peut avoir des répercussions importantes sur la santé et le bien-être de la personne touchée, surtout si les symptômes ne sont pas rapidement reconnus et pris en charge.

Les symptômes typiques incluent des maux de tête, des étourdissements, une confusion temporaire, des nausées ou une sensibilité accrue à la lumière et aux sons. Ces signes peuvent apparaître immédiatement après l’incident ou se manifester plusieurs heures, voire jours, plus tard. Dans certains cas, les symptômes peuvent persister pendant des semaines, affectant la qualité de vie et les capacités de la personne.

Le diagnostic et la gestion du TCCL nécessitent une évaluation médicale attentive, car un repos adéquat est souvent crucial pour une récupération complète. Dans le cadre d’un TCCL, il est conseillé d’éviter toute activité physique ou cognitive intense jusqu’à ce que les symptômes disparaissent.

La prévention joue un rôle clé dans la réduction des risques liés aux TCCL. L’utilisation de protections appropriées lors de la pratique de sports, la promotion de comportements sécuritaires et la sensibilisation aux signes avant-coureurs peuvent contribuer à diminuer l’incidence de ces blessures.

Informer et éduquer le public sur les traumatismes craniocérébraux légers permet non seulement d’améliorer la prise en charge de cette blessure, mais aussi de contribuer à un environnement plus sécuritaire pour tous.