Actualités : Communiqués

Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de l’Abitibi-Témiscamingue souhaite mettre en lumière la mission de la Clinique jeunesse de Rouyn-Noranda qui célèbre ses 15 ans d’existence cette année. Cet anniversaire a été souligné sans prétention, le 5 décembre dernier, dans les locaux de la clinique, au 1, 9^e Rue. Des jeunes, d’anciens membres de l’équipe et des partenaires ont profité de ce rassemblement pour se rappeler l’origine du projet, le chemin parcouru et les milliers de jeunes qui bénéficient des services de la clinique depuis 2003.

La Clinique jeunesse, c’est une plage horaire dédiée exclusivement aux jeunes de 12 à 24 ans. Tous les mercredis, de 12 h à 20 h, les jeunes peuvent se présenter pour obtenir des services de santé et des services psychosociaux. Une équipe d’infirmières et de travailleurs sociaux est sur place pour offrir ces consultations sans rendez-vous.

« Chaque mercredi, on rencontre en moyenne 25 jeunes. Ils viennent à la clinique pour différentes raisons, mais environ 90 % des consultations touchent la contraception et le dépistage des infections transmises sexuellement et par le sang », indique une des infirmières cliniciennes qui travaillent à la clinique, Manon Faber.

L’objectif est de faciliter l’accès aux services. L’achalandage démontre bien que les jeunes apprécient la convivialité de cette formule. « Ce n’est pas rare qu’on reçoive des jeunes qui étudient à l’extérieur de Rouyn-Noranda et de la région. Ils profitent de leur semaine de relâche ou de leurs vacances pour venir passer un test de dépistage », raconte Annie Boissonneault, infirmière clinicienne.

Quelques données

Selon le rapport annuel 2004-2005 du Centre de santé et de services sociaux (CSSS) de Rouyn-Noranda, l’équipe de la Clinique jeunesse a réalisé 338 interventions en 2003-2004, puis 601 interventions en 2004-2005. Depuis, la clinique a acquis une belle notoriété. Elle est de plus en plus connue et ça se reflète sur l’achalandage. Depuis le début des années 2010, l’équipe réalise 998 interventions en moyenne, chaque année. Quant au nombre de jeunes qui reçoivent des services à la clinique, la moyenne annuelle se situe à 652, pour la même période. Cela représente une moyenne de 1,6 intervention par usager différent.

« Les jeunes qui découvrent la clinique reviennent lorsqu’ils ont besoin de services. Si certains consultent une seule fois, ils sont nombreux à se présenter à plusieurs reprises, pour différentes raisons, au cours d’une même année », confirme l’infirmière clinicienne Debbie Rollin. 

Bien sûr, les jeunes des autres territoires de la région ne sont pas en reste. Les mêmes services de santé et services psychosociaux sont offerts dans les centres locaux de santé communautaire (CLSC) à travers l’Abitibi-Témiscamingue. Ce qui est unique à la Clinique jeunesse de Rouyn-Noranda, c’est la formule sans rendez-vous et les lieux physiques au goût des jeunes.

Bon 15^e anniversaire à la Clinique jeunesse de Rouyn-Noranda!

Sur la photo : Les infirmières cliniciennes qui travaillent à la Clinique jeunesse. (De gauche à droite : Debbie Rollin, Sylvie Isabelle, Annie Boissonneault et Manon Faber)

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La compagnie ambulancière Dessercom est venue faire l’annonce aujourd’hui d’un don de 40 défibrillateurs externe automatisé (DEA) et de la formation nécessaire pour leur utilisation. Ce don important de 140 000 $ remis au Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de l’Abitibi-Témiscamingue devant de nombreux élus et membres des médias représente une amélioration de l’accès aux DEA pour la région de l’Abitibi-Témiscamingue.

Présent pour cette annonce, le président-directeur général du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue, monsieur Yves Desjardins, a qualifié Dessercom de partenaire d’exception. « Nous sommes fiers que Dessercom soit impliquée dans la communauté témiscabitibienne. Avec l’achat de ces DEA, c’est toute la population d’ici qui bénéficiera d’une chance de survie de plus. Nous tenons à les remercier pour cette contribution ».

Les quarante DEA seront installés aux quatre coins de la région dans des endroits publics achalandés région tels que : centres commerciaux, établissements hôteliers, parcs touristiques, salles communautaires, clubs sportifs, etc.

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Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de l’Abitibi-Témiscamingue a écouté les citoyens de la Vallée-de-l’Or. Une nouvelle date a été ajoutée à la tournée régionale auprès de la population que réalise le président-directeur général depuis le 1^er novembre dernier.

Monsieur Yves Desjardins ira donc à la rencontre de la population de Val-d’Or et des environs le lundi 26 novembre 2018, dès 19 h. Les personnes intéressées sont attendues au 6^e étage du CLSC de Val-d’Or (salle Clément-Fontaine), situé au 725, 6^e Rue.

Cette rencontre sera la dernière d’une série de six rendez-vous qui ont eu lieu à travers toute la région et qui ont permis au président-directeur général d’écouter les préoccupations exprimées par des dizaines de personnes dans chaque territoire.

En plus du bilan que présente le président-directeur général, rappelons qu’une conférence ayant pour titre « Agir ensemble pour le bien-être des aînés de l’Abitibi-Témiscamingue » est aussi présentée dans le cadre de la tournée. Malgré le sujet de la conférence, il est important de souligner que la rencontre s’adresse à toute la population.

Vous souhaitez aider le CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue à faire connaître cette dernière date de rencontre au plus grand nombre de personnes possible? N’hésitez pas à partager cette information ou encore l’imprimer et à mettre bien en vue l’affiche qui se trouve en pièce jointe.

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Ouvertes depuis le 27 juin dernier, les huit nouvelles chambres de naissance de l’Hôpital de Val-d’Or ont jusqu’à maintenant accueilli 212 mamans, leur bébé et leur famille. Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de l’Abitibi-Témiscamingue a procédé à l’ouverture officielle de ces infrastructures ce matin, en présence de dirigeants, médecins, employés et partenaires.

« Les chambres de naissance permettent d’offrir un espace plus convivial pour les femmes et leur famille et assurent une plus grande efficacité au niveau de l’équipe de soins en favorisant la communication, l’entraide et l’échange d’expertise », a mentionné Mario Racette, directeur adjoint du programme Jeunesse - obstétrique, pédiatrie, maternité et services sages-femmes au CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue. 

Le projet qui a nécessité un investissement de deux millions de dollars a aussi permis le réaménagement de la pouponnière et du poste des infirmières ainsi que l’ajout d’améliorations à la section réservée à la pédiatrie.

Commentaires élogieux

Chaque année, plus de 600 femmes accouchent à Val-d’Or. Parmi celles qui ont déjà bénéficié des chambres de naissance, un sondage a été mené à partir de la fin septembre. Les commentaires tant au niveau du confort que des soins apportés par le personnel sont élogieux.

« Les répondantes ont toutes affirmé avoir apprécié le fait que les chambres de naissance soient maintenant situées au 5e étage ainsi que le service reçu pendant leur séjour. Pour le personnel, ces chambres de naissance sont bénéfiques, car elles ont permis le regroupement des services en obstétrique sur le même étage, ce qui contribue positivement à l’esprit d’équipe », a souligné Pascale Benoit, chef de l’unité mère-enfant de l’Hôpital de Val-d’Or.

Parmi les commentaires rédigés par les nouvelles mamans, notons : « Merci d’avoir fait en sorte que mon séjour soit agréable et reposant. Il faut souligner la disponibilité et l’attention de tout le personnel ». Pour sa part, Dre Kathy Bonapace, chef de département d’obstétrique-gynécologie au CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue, a rappelé la contribution médicale au projet, et ce, à toutes les étapes, de l’élaboration des plans d’aménagement jusqu’à aujourd’hui.

Retour à la maison plus rapide

Parallèlement au projet, des travaux ont été effectués afin de réduire la durée de séjour à l’unité d’obstétrique afin que les mamans et les bébés puissent retourner dans le confort de leur foyer le plus rapidement possible, dans des conditions optimales.

« Nous avons bonifié nos services en périnatalité. Nos infirmières effectuent des suivis systématiques pour les bébés, mais aussi pour les mamans afin de s’assurer que le retour à la maison se passe bien », a précisé Cynthia Vachon-Gilbert, chef de service de santé publique pour le secteur de la Vallée-de-l’Or.

L’exercice a porté ses fruits puisque la durée moyenne de séjour en obstétrique à l’Hôpital de Val-d’Or est passée de 3,4 jours en 2016-2017 à 2,2 jours en 2018-2019.

Rappelons que le projet d’aménagement des chambres de naissance a été réalisé en collaboration avec différents partenaires, soit Mines Agnico Eagle, Fondation du Centre hospitalier de Val-d’Or avec son projet Coeur d’enfant et Maison de la famille de Val-d’Or.

[Communiqué]