Actualités : Journée thématique

Cette journée vise à sensibiliser le public aux défis uniques auxquels font face les personnes handicapées et à encourager une société plus inclusive et accessible.

Les personnes handicapées apportent une contribution précieuse à la société. En reconnaissant leurs talents et en éliminant les barrières, il est possible de construire un monde où chacun a la possibilité de réaliser son potentiel.

« Les personnes handicapées sont des personnes de la société qui doivent être reconnues et considérées à leur juste valeur. Lorsque l’on côtoie ces personnes dans le quotidien, on constate à quel point elles font preuve de résilience, de bienveillance et amènent à considérer la vie d’une tout autre façon ». - Katia Châteauvert, directrice des programmes déficience intellectuelle, trouble du spectre de l'autisme et déficience physique.

Cette journée offre un moment de réflexion, de célébration et d'engagement pour un avenir où les personnes handicapées sont pleinement intégrées et valorisées dans la société.

Liens utiles :

 

« Parler, ça fait du bien » est une fois de plus le thème retenu pour la Journée québécoise en santé et bien-être des hommes qui se tiendra le 19 novembre.

De nombreux hommes hésitent encore à demander du soutien que ce soit pour leur santé physique, mentale ou pour leurs relations interpersonnelles. Cependant, de plus en plus d’hommes, quel que soit leur âge, constatent des améliorations dans leur qualité de vie en partageant leurs préoccupations avec un proche, un collègue ou un professionnel.

Un regroupement d’organisations s’active à accompagner les hommes dans leur désir d’amélioration et de mieux-être, notamment, les professionnels du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue et les partenaires de la table de santé et bien-être des hommes de l’Abitibi-Témiscamingue, tels que le Centre résidentiel communautaire Abitibi-Témiscamingue, Nord-du-Québec, les Centres de prévention du suicide, les Maisons de la famille, la FTQ, le Service d'aide et de traitement en apprentissage social Abitibi-Témiscamingue, la Table régionale Action Réussite, l’Union des producteurs agricoles et l’UQAT.

Partagez ce que vous vivez, car « Parler, ça fait du bien »!

Voici quelques ressources de soutien :

Chaque suicide affecte profondément entre six et dix personnes, souvent des membres de la famille. Cela représente entre 24 000 et 40 000 nouvelles personnes endeuillées par un suicide. Le deuil et la souffrance causés par le suicide sont des expériences hors du commun, souvent marquées par l’isolement et la stigmatisation.[i]

Pour ceux qui vivent un deuil par suicide, plusieurs ressources offrant du soutien existent.

En cas de besoin, vous pouvez contacter le Centre de prévention du suicide local qui pourra vous offrir écoute, soutien et conseils en lien avec ce deuil particulier.

Vous préférez échanger dans le confort de votre domicile? Sachez qu’il existe aussi une communauté virtuelle où vous pouvez discuter avec d’autres endeuillés en ligne.   

Diverses lignes d’écoute sont également mises à votre disposition :

  • Tel-Écoute - Ligne Le Deuil (pour personnes endeuillées, 18 ans+) 7 j/7 (10 h à 22 h) 1 888 533-3845
  • Deuil-Jeunesse 24/7 (pour tous les âges) 1 855 889-3666

 

Si vous êtes en contact avec une personne ayant perdu un proche par suicide et que vous ne savez pas comment réagir, consultez la fiche « Oser parler du suicide pour cultiver la bienveillance », afin d’obtenir des conseils pour aborder le sujet avec elle.

De plus, les centres de prévention du suicide de la région organisent chaque année des événements pour permettre aux personnes endeuillées de se rassembler et/ou d’obtenir des informations sur les services disponibles. Vous pouvez vous abonner à leur page Facebook pour connaître les lieux et les dates des activités de cette année.

La Sarre - 16 novembre à 19 h au Club de Golf Beattie : activité spéciale de lanternes chinoises, symbole de lumière et d’espoir pour honorer les proches disparus. Ce sera un moment de recueillement, de partage et de quiétude, permettant à chacun de se reconnecter à ses émotions.

Malartic - 18 novembre de 9 h à 16 h à l'Atrium Mine Agnico Eagle, situé au 939, rue de la Canadienne : Atelier/conférence sur la résilience, animé par Di-Anne Robin, formatrice spécialisée en psychologie positive. Un repas froid sera servi sur place.

Val-d’Or - 18 novembre de 7 h à 15 h à l’entrée de l’Hôpital de Val-d’Or : Kiosque d’information animé par le Centre de prévention du suicide de Val-d’Or.

Senneterre – 16 novembre de 17 h à 20 h à l'ancienne place Richard (entre la SAQ et la Maison de la famille) : Au programme, un feu de camp, des guimauves, du chocolat chaud et des surprises seront offerts gratuitement.

Témiscamingue – 15 novembre à 17 h au Centre de prévention du suicide du Témiscamingue (71-A, rue des Oblats Nord, Ville-Marie) : Inauguration de l'arbre commémoratif qui représentera la continuité et l'espoir.

Amos : 16 novembre à 10 h au Parc Lion : Activités gratuites : feu de camp et guimauves, chocolat chaud et café, ainsi que la présentation de l’espace de commémoration.

 [i] https://aqps.info/2023/02/06/les-comportements-suicidaires-au-quebec-portrait-2023/

Cette journée souligne la nécessité de la prévention et de l’intervention pour assurer la sécurité et le bien-être des enfants à travers le monde.

L’importance de la prévention

Les abus envers les enfants peuvent être physiques, émotionnels, sexuels ou liés à la négligence. Ces abus ont des conséquences dévastatrices sur le développement des enfants, affectant leur santé mentale et leur capacité à apprendre et à se développer sainement.

La prévention des abus est essentielle pour briser le cycle de la violence et offrir aux enfants un environnement sûr et protecteur. Cela implique des mesures législatives, des politiques de protection, une sensibilisation accrue et une éducation des parents, des enseignants et de la communauté.

 

Initiatives du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de l’Abitibi-Témiscamingue

Sous la Direction de la protection de la jeunesse, une spécialiste en activité clinique a été engagée. Dès la réception et le traitement des signalements, celle-ci analyse et traite les situations signalées. Elle aide les intervenants à décider de la rétention ou de l’orientation des signalements vers les services adéquats. Cette initiative garantit que chaque signalement bénéficie de l’attention et du suivi nécessaires.

Un nouveau projet appelé « Triage » a été lancé pour traiter les signalements d’abus sexuels, physiques et de négligence grave. Cette équipe comprend la chef de service du Réseau territorial de services (RTS) de la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ), un procureur du Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP), des policiers de la Sûreté du Québec et des représentants de toutes les communautés des Premières Nations. Depuis le 1er avril 2024, environ 273 dossiers ont été traités, assurant une réponse rapide et efficace. Ce projet a été réalisé en collaboration avec les Services intégrés en abus et maltraitance (SIAM) de Québec.

Lorsqu’une situation d’abus physique est retenue, l’équipe d’évaluation et d’orientation prend en charge l’enfant et sa famille. Ce contexte d’intervention complexe a conduit au développement d’une expertise spécifique. Ainsi, une formation spécialisée dans l’analyse et l’interprétation médicale des blessures (Blessures Sentinelles) a été mise en place.

Pour l’évaluation des signalements d’abus sexuels et physiques, les intervenants reçoivent une formation sur l’entrevue non suggestive. Cette formation est cruciale pour appliquer l’entente multisectorielle, accompagner l’enfant et sa famille, recueillir les éléments dénoncés et mettre en place des moyens de protection et d’aide adaptés.

La Direction du programme jeunesse (DPJeu) offre des services psychosociaux et de réadaptation aux enfants, aux jeunes et à leurs familles. En collaboration avec le Programme jeunesse, elle a amélioré le continuum de services pour faciliter la prise en charge des jeunes et de leurs parents. Ces initiatives démontrent l’engagement de la DPJeu à protéger les enfants et à soutenir les familles, en travaillant étroitement avec divers partenaires pour assurer la sécurité et le bien-être des jeunes.

La Journée mondiale pour la prévention des abus envers les enfants et les initiatives locales comme celles du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue montrent l’importance de la prévention et de l’intervention pour protéger les enfants. En travaillant ensemble, il est possible de créer un environnement sûr et bienveillant pour tous les enfants, leur permettant de grandir et de s’épanouir pleinement.