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Depuis l’introduction des programmes de vaccination, les Québécois peuvent maintenant compter sur la vaccination pour se protéger contre 23 maladies graves, pouvant avoir d’importantes conséquences et pour certaines, entrainer la mort.

La vaccination d’hier à aujourd’hui

Dans les années 1930 et 1940, avant le début de la vaccination systématique au Canada, le Québec a connu plusieurs épidémies (variole, typhoïde, diphtérie, poliomyélite) apportant des conséquences sur la santé et des décès au sein de la population. On estimait que la variole tuait jusqu’à 50 % des personnes infectées annuellement, que 10 à 20 % des gens qui contractaient la poliomyélite devenaient paralysés et que de 2 à 3 % des personnes mouraient de la rougeole.

Les vaccins, victimes de leur succès

L’implantation des programmes de vaccination fut si efficace qu’ils ont réduit l’incidence de plusieurs maladies, telles que la poliomyélite, la rougeole et la diphtérie. Ces infections sont désormais si rares au Québec, qu’elles sont maintenant oubliées ou méconnues du public.

Au cours des dernières années, une baisse des couvertures vaccinales a été observée au Québec et ailleurs dans le monde. Force est de constater que la pandémie de la COVID-19 et la mobilisation des efforts pour freiner la propagation du virus ont eu un impact négatif sur le programme de vaccination régulier. Une augmentation de l’hésitation à la vaccination résultant d’une surabondance d’informations fiables ou peu fiables, voire d’une méfiance quant à la sécurité des vaccins a également été constatée.

La baisse de couvertures vaccinales est préoccupante, car elle met en péril l’immunité collective de la population, ouvrant la porte au retour des maladies et des infections désormais rares au Québec.

À titre d’exemple, la province fait actuellement face à une éclosion de rougeole touchant plusieurs régions. De ce fait, des mesures de vaccination supplémentaires ont été déployées et se poursuivent. Les citoyens sont invités à vérifier leur statut de vaccination contre la rougeole et, au besoin, à profiter de l’offre de vaccination en communiquant avec leurs centres locaux de services communautaires (CLSC).

Se faire vacciner : Un geste simple et essentiel

L’immunisation est un geste simple permettant de se protéger et de protéger nos communautés contre la propagation de certaines maladies. Les Québécois ont la chance de pouvoir compter sur un programme de vaccination gratuit, sécuritaire et adapté pour l’âge.

Dès la naissance, la vaccination est offerte dans les CLSC, et ce, tout au long de la vie. Les écoliers ont la possibilité de recevoir ceux-ci directement à même leur école. Des services complémentaires, augmentant l’accessibilité aux services de vaccination comme les points de services locaux, les pharmacies communautaires et les cliniques privées sont aussi disponibles dans la région. Toutefois, prendre note que certains de ces services peuvent être payants notamment les vaccins non inclus dans le programme québécois d'immunisation (PQI).

Vous êtes curieux et voulez en savoir plus?
Vaccination | Gouvernement du Québec (quebec.ca)

Depuis août 2023, la Direction des services professionnels, de l’enseignement universitaire et de la pertinence clinique (DSPEUPC) du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue a déployé un nouveau service pour les usagers appelé Guichet d’investigation rapide (GIR) pour les patients chez qui il y a suspicion de cancer. Le premier siège déployé a été celui du poumon. À ce jour, 128 usagers ont été recommandés et pris en charge par l’équipe composée d’une infirmière et d’une agente administrative qui travaillent en étroite collaboration avec les services de pneumologie et d’imagerie médicale de la région.

Qu’est-ce que le GIR ?

Le Guichet d'investigation rapide (GIR) du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue a pour objectif de prendre en charge rapidement le patient lors d’une suspicion de cancer à la suite d'une radiographie pulmonaire anormale ou tout autre imagerie anormale. Une référence faite par un médecin ou une infirmière praticienne spécialisée est requise avant d’entreprendre le processus d’investigation. Au cours du processus, l’équipe du GIR s’assure de coordonner les rendez-vous médicaux et les examens complémentaires, et ce, dans le but de minimiser les délais afin d’obtenir un diagnostic.

La collaboration avec les médecins omnipraticiens de famille, médecins spécialistes et infirmières dans le cadre de l’investigation permet d’optimiser l’approche du service. Le délai d’attente durant cette période peut engendrer du stress ou de l’anxiété pour le patient et son entourage. L’équipe du GIR a donc aussi pour mandat d’assurer le soutien et l’accompagnement propre aux besoins des patients.

La page Internet du GIR permettra aux patients et aux professionnels de la santé de trouver la documentation nécessaire afin de faciliter le bon déroulement de l’investigation.

Éventuellement, le CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue mettra en place d’autres guichets d’investigation rapide pour les suspicions de cancer du sein, colorectal et urologique (rein /vessie/prostate) (rein / vessie / prostate) sur la base de résultats anormaux d’analyses.

Comment joindre le GIR?

1 855 650-6493 (ligne téléphonique sans frais destinée aux patients)
08.cisssat.gir@ssss.gouv.qc.ca

Mots clés: CHSLD

Le 24 avril 2024, le CHSLD de Macamic a organisé un Party sur le thème de la cabane à sucre afin que les personnes hébergées et leurs proches puissent vivre une belle expérience aux accents traditionnels et festifs. Pour l’occasion, les participants, réunissant un total de plus d’une soixantaine de personnes, ont été très heureux de déguster de bonnes crêpes aux sirops d’érable au son du groupe de musique Tic-tac-toe ainsi que de leur invité spécial M .Ovila Larochelle, venu avec son accordéon.

Merci au service animation, aux précieuses bénévoles ainsi qu’aux employés des équipes de soins des étages qui ont également mis la main à la pâte afin de permettre la réalisation de cette activité!

Mots clés: Recrutement

À l’approche de la saison estivale, une invitation est lancée aux étudiants à la technique en inhalothérapie de la province. Le CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue offre l’opportunité de venir travailler en tant qu’externes en inhalothérapie.

Ces emplois d’été profitent grandement aux étudiants puisque l’expérience terrain diversifiée y est extrêmement riche. Cette incursion au sein des équipes cliniques multidisciplinaires permet d’acquérir davantage de compétences relativement à la profession.

Visionnez le témoignage de Gabriel Viger, l’inhalothérapeute au CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue.

Pour plus d’informations :

Francine Veillette
Direction des ressources humaines
819 782-4661, poste 3417
Francine_veillette@ssss.gouv.qc.ca

Pour postuler : https://www.cisss-at.gouv.qc.ca/carrieres/