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Mots clés: Tabagisme

Vous relevez le Défi J’arrête, j’y gagne? Félicitations! C’est un excellent pas vers une meilleure santé Vous constaterez rapidement les répercussions positives et que de semaine en semaine, vous vous sentirez de mieux. Le défi de chaque personne qui y participe est de maintenir la cessation tabagique. Briser une habitude prend environ six semaines. C’est donc pour cette raison que le Défi se tient du 3 février au 16 mars 2025.

Une multitude de trucs et astuces se trouve sur la plateforme du Défi J’arrête, j’y gagne! de manière à éviter les rechutes. En cette première semaine de Défi, le premier conseil est de prendre le temps d’en discuter avec votre entourage. L’écoute de vos amis, le soutien des membres de votre famille et les encouragements de vos collègues immédiats peuvent faire une grande différence sur votre démarche personnelle de cessation tabagique. Vous pouvez aussi partager ce que vous vivez en publiant vos moyens pour arrêter sur la page Facebook du Défi J’arrête, j’y gagne!

 

Connaissez-vous les services régionaux du Centre d’abandon du tabagisme?

Que vous releviez le Défi ou non, si vous êtes en réflexion sur votre consommation de cigarette ou de produits de vapotage, sachez qu’il existe en région du soutien professionnel, gratuit et confidentiel. Les centres d’abandon du tabagisme (CAT) vous offrent des services adaptés à vos besoins, que vous soyez fumeurs ou ex-fumeurs.

Pour vous aider dans votre réflexion de cesser de fumer, pour vous soutenir dans vos démarches d’abandon du tabagisme ou pour prévenir la rechute, les CAT offrent du soutien individuel par des professionnels(-les) spécialement formés(-es) en cessation nicotinique. Visitez la page Internet pour trouver les coordonnées d’un conseiller de votre secteur.

 

À consulter :

Mots clés: Prévention , Suicide

35e Semaine nationale de prévention du suicide

 

La Semaine nationale de prévention du suicide met l'accent sur l'importance de la prévention et encourage la population à oser parler du suicide malgré les inquiétudes ou l'inconfort, car le simple fait d'en discuter peut faire toute la différence.

L’Abitibi-Témiscamingue fait partie des régions ayant le plus haut taux de suicide au Québec. En moyenne 1 000 consultations par année sont effectuées à l’urgence pour des idéations suicidaires et 100 consultations par année sont réalisées en raison d’une tentative de suicide. De plus, il faut également considérer qu’à cela viennent s’ajouter toutes les personnes qui ont fait appel à la ligne d’intervention régionale (1 866 277-3553) et à Info-Social (811-2), aux Centres de prévention du suicide de la région et ceux qui n’ont tout simplement pas demandé d’aide.

Il est à noter que le CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue travaille activement avec les différents partenaires de la communauté comme les Centres de prévention du suicide, pour améliorer le bien-être de la population de l’Abitibi-Témiscamingue et dans le but de réduire les idéations suicidaires, les tentatives suicidaires et ultimement les décès par suicide dans la région.

Néanmoins, chaque jour, en moyenne trois Québécois mettent fin à leurs jours. Pour cette Semaine de prévention du suicide, engageons-nous à oser parler du suicide.

Brisons les tabous, soyons des personnes sensibilisées prêtes à agir pour nos proches et pour nous-mêmes en ouvrant le dialogue.

 

 

La Semaine de prévention du suicide est un événement de sensibilisation et de mobilisation et les principaux objectifs sont les suivants :

  • Sensibiliser et mobiliser les citoyens à l’ampleur de la situation ainsi qu’aux moyens d’y remédier.
  • Faire connaître les ressources d’aide, dont suicide.ca et la ligne québécoise de prévention du suicide au 1 866 APPELLE (277-3553).
  • Normaliser la demande d’aide, en particulier chez les hommes, qui demandent moins d’aide et qui présentent un taux de suicide plus élevé.
  • Favoriser la discussion sur le suicide et guider les proches, les personnes vulnérables, les citoyens et les intervenants dans les façons préventives d’en parler.

 

Les idées suicidaires

Les idées suicidaires surviennent comme un signal d’alarme, indiquant que la santé mentale d’une personne se détériore. Ces idées peuvent prendre plusieurs formes, telles que penser que le suicide est une solution à ses problèmes, s'imaginer de façon passagère se donner la mort, avoir des envies soudaines de se suicider, être obsédé par l’idée de se suicider, ou même planifier son suicide en déterminant la manière, le lieu et le moment.

 

Signes indiquant des idées suicidaires :

Plusieurs changements comportementaux peuvent indiquer que quelqu'un pense au suicide, par exemple :

  • Tenir des propos inquiétants (ex. : « Vous serez bientôt débarrassés de moi »).
  • Demander si vous avez déjà pensé au suicide.
  • Faire son testament ou léguer ses effets personnels.
  • Se renseigner sur les méthodes de suicide.
  • Montrer un intérêt soudain pour tout ce qui est en rapport avec la mort.
  • Faire ses adieux.
  • Avoir un regain soudain d’enthousiasme ou un retour au calme à la suite d’une période de grand découragement.

 

La sensibilisation et l'action collective sont essentielles pour prévenir le suicide et vous pouvez faire votre part, par exemple, en devenant Sentinelle ou en faisant connaître les ressources d’aide dans votre milieu. La formation Agir en sentinelle pour la prévention du suicide s’adresse à des adultes volontaires, susceptibles d’être en lien avec des personnes vulnérables au suicide dans le cadre de leur travail ou lors d’activités bénévoles et qui n’ont pas nécessairement de formation en relation d’aide. À la suite de la formation, la sentinelle est outillée pour reconnaître dans son milieu de vie les signes précurseurs des comportements suicidaires et peut ensuite diriger la personne vers les ressources d’aide appropriées.

 

Pour plus d’information

Mots clés: Médecin

Savez-vous ce en quoi consiste le Guichet d’accès première ligne (GAP)?

 

Une solution pour les personnes sans médecin de famille

Le GAP est un service spécialement conçu pour les personnes inscrites au GAMF qui sont encore sur la liste d’attente. Cet outil, qui est disponible par téléphone ou en ligne, permet d’avoir des conseils médicaux ou un rendez-vous avec un professionnel de la santé en un appel (811, option 3) ou en quelques clics, selon le cas.

Dépendamment de votre problème de santé, le GAP peut vous mettre en contact avec un professionnel de la santé, un médecin ou un pharmacien qui vous informera de la façon de vous soigner à la maison ou vous donnera un rendez-vous dans un service de santé à proximité de votre domicile.

 

Un fonctionnement axé sur l’accessibilité et la réactivité

La banque de rendez-vous à laquelle les équipes du GAP ont accès dépend du nombre de plages horaires qui lui ont été octroyées par les cliniques situées dans chaque secteur et du taux d’achalandage de ces dernières. Dépendamment de la ville où vous habitez, le nombre de rendez-vous disponibles peut donc varier.

Depuis le 1er avril 2024, le GAP a reçu plus de 14 000 demandes. En moyenne, 90 % des demandes sont traitées en moins de 36 heures et 82 % des besoins exprimés ont pu être comblés par une consultation médicale, une visite chez le pharmacien, un programme de soutien ou encore pour obtenir des renseignements de santé utiles.

 

Portrait des services rendus par le GAP depuis avril 2024 :

MRC / VilleDemandes reçues% traitées en moins de 36 hRDV offertsRDV non disponibles% besoins comblés
Abitibi-Ouest2 09391 %1 21932485 %
Abitibi2 80089 %1 95533088 %
Rouyn-Noranda4 55990 %2 38281982 %
La Vallée-de-l'Or3 96689 %1 85995376 %
Témiscamingue66490 %4457489 %
TOTAL14 08290 %7 8602 50082 %

 

Un outil en constante évolution

Bien que le GAP permette de répondre efficacement à une grande majorité des demandes, certains défis subsistent. Pour améliorer l’accès dans les secteurs où le taux de satisfaction est plus bas, des solutions sont en cours de développement en collaboration avec les équipes médicales :

  • Augmentation du nombre de rendez-vous disponibles pour répondre aux besoins de la population.
  • Renforcement des alternatives, comme les consultations avec les pharmaciens communautaires et les Groupes de médecine familiale (GMF) pour des soins de première ligne accessibles plus rapidement.
  • Travail effectué en étroite collaboration avec les professionnels de la santé pour accroître l’offre de services et répondre aux besoins croissants de la population.

 

Les efforts se poursuivent afin d’améliorer le maillage entre les ressources disponibles et les besoins des usagers, avec un engagement fort envers une meilleure fluidité et accessibilité des soins en Abitibi-Témiscamingue.

 

Pour en savoir plus sur le fonctionnement du GAP, consultez la page Guichet d’accès première ligne et Guichet d’accès à un médecin de famille. Pour connaître les autres services de santé mis à la disposition de la population, visitez Alternatives à l’urgence.

Mots clés: Semaine thématique

Cet événement met en lumière l'importance de la canne blanche, un outil essentiel pour l'autonomie et la sécurité des personnes ayant une déficience visuelle.

Savez-vous qu’au CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue, il existe une équipe spécialisée en déficience visuelle relevant de la Direction des programmes déficience intellectuelle, trouble du spectre de l'autisme et déficience physique? Basée à Rouyn-Noranda, cette équipe régionale est composée de sept professionnels couvrant l’ensemble de la région. De nombreuses interventions et adaptations peuvent être réalisées pour faciliter l’intégration des personnes présentant une déficience visuelle.

Au Québec, l’utilisation de la canne blanche est légalement encadrée depuis les années 70. La Loi sur la canne blanche (C-6), adoptée à cette époque, définissait le terme aveugle, précisait le profil des personnes autorisées à utiliser une canne blanche et mentionnait les sanctions applicables aux contrevenants. Bien que cette loi ait été abrogée en février 1979, la Loi assurant l’exercice des droits des personnes handicapées en vue de leur intégration scolaire, professionnelle et sociale a pris le relais. Cette loi précise le cadre d’utilisation de la canne blanche et du chien-guide à l’article 76.

La canne blanche est plus qu'un simple outil de mobilité; elle symbolise l'indépendance et la capacité des personnes vivant avec une déficience visuelle à naviguer dans le monde avec confiance. En participant à la Semaine de la canne blanche, chacun peut contribuer à créer une société plus inclusive et respectueuse des différences.

 

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