Actualités : Mois thématique

Mots clés: Mois thématique

Bien que le Mois de la sensibilisation à la maladie d'Alzheimer se termine à la fin de janvier, les défis des personnes atteintes de troubles neurocognitifs persistent. En comprenant leur réalité quotidienne, leurs luttes, leurs réussites et leurs espoirs, nous pouvons, ensemble, sensibiliser la population canadienne.

La sensibilisation et l’éducation, les activités sociales, physiques et de stimulation cognitive, la préservation de la santé cérébrale, ainsi que l’alimentation et une diète constituent des méthodes de prévention pour faire face au déclin cognitif et à la démence vasculaire. En complément de ces stratégies préventives, il est essentiel d'encourager les personnes âgées à se soumettre régulièrement à des tests de dépistage cognitif avant que les symptômes ne deviennent trop prononcés. Parmi les maladies neurocognitives, la maladie d’Alzheimer est la plus courante. Elles sont appelées troubles neurocognitifs majeurs (TNCM) ou plus souvent « démence ».

L’âge est le facteur de risque le plus important suivi, du mode de vie et de l’environnement.

Les troubles neurocognitifs :

En plus des pertes de mémoire, les troubles neurocognitifs entraînent des déclins dans des domaines tels que les capacités de réflexion, le langage, la résolution de problèmes, les changements d'humeur, de comportements, etc.

 

L’Alzheimer : 

Il est estimé que trois Canadiens sur quatre connaissent une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer. Cette maladie mortelle et irréversible détruit les cellules du cerveau, entraînant des troubles de la pensée et de la mémoire. Au Canada, elle touche près de 500 000 personnes, dont plus de 120 000 au Québec.

Cette maladie affecte principalement les individus âgés de 65 ans et plus, bien que certains présentent des symptômes de manière précoce, vers l'âge de 40 ou 50 ans. Un diagnostic rapide est essentiel, car les troubles neurocognitifs sont progressifs et s'aggravent au fil du temps.

Avec le vieillissement de la population au Québec, le nombre de personnes touchées par la maladie d'Alzheimer devrait augmenter de manière significative. La sensibilisation constitue la première étape pour lutter contre les préjugés et la discrimination envers les personnes atteintes de cette maladie.

Il est de la responsabilité de notre collectivité de prendre soin des personnes âgées, et chacun d’entre nous a une responsabilité sociale et morale envers notre population vieillissante.

Pour en apprendre davantage sur la maladie d’Alzheimer et les troubles cognitifs, rendez-vous au : www.alzheimer.ca

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La violence peut prendre différentes formes. En fait, elle se caractérise par une série d’actes répétitifs qui se produisent généralement selon une courbe ascendante. La violence conjugale et familiale comprend les agressions psychologiques, verbales, physiques et sexuelles ainsi que les actes de domination sur le plan économique. Elle en résulte par une perte de contrôle, mais constitue, au contraire, un moyen choisi pour dominer l’autre personne et affirmer son pouvoir sur elle.

Vous pensez que cette définition représente ce que vous vivez? De l’aide existe pour voir clair dans votre situation familiale ou matrimoniale. Communiquez avec la ligne Info-Social au 811, option 2 ou le CLSC de votre localité.

 

 

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Saviez-vous que le cancer du poumon est la première cause de décès liés au cancer au Québec?

L’une des causes principales est le tabac. Lorsqu’une personne cesse de fumer, le risque de développer un cancer du poumon diminue de façon importante. La qualité de l’air est aussi un facteur de risque. L’exposition à certains polluants, tels que le radon, joue un rôle important dans le risque d’apparition de cancers du poumon.

Certaines personnes sont plus à risque de par leurs habitudes de vie, par leurs antécédents personnels et familiaux ainsi que par leur bagage génétique.

Le meilleur moyen de réduire votre risque de cancer du poumon est d’adopter de saines habitudes de vie Si vous avez des doutes, consultez un professionnel de la santé.

Pour en savoir davantage, consultez des sites d’informations crédibles :

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Du radon dans votre maison?

Durant la période hivernale, le temps passé à l’intérieur est plus important et l’aération de la maison diminue. La Direction de santé publique (DSPu) du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de l’Abitibi-Témiscamingue souhaite rappeler à la population que cette situation accentue le risque d’exposition à un gaz : le radon. Ce dernier est d’origine naturelle, mais est cancérigène. Sa détection et la mise en place de mesures correctives, lorsque nécessaire, sont des actions qui permettent de limiter les effets néfastes sur la santé.

Le radon est un gaz radioactif qui provient de l’uranium naturellement présent dans la croûte terrestre. Par conséquent, le radon peut se retrouver dans presque toutes les maisons au Canada. Les concentrations varient en fonction de la nature de la roche. En Abitibi-Témiscamingue, 1 test sur 25 réalisé dans des habitations a permis de mettre en évidence une concentration de radon supérieure à la norme canadienne d’après l’Association pulmonaire du Québec.

Pour en savoir davantage, consulter le communiqué et la page Le radons du site Internet du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue