Actualités : Communiqués

Mots clés: Chasse

La Direction de santé publique (DSPu) du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de l’Abitibi-Témiscamingue souhaite rappeler à la population qu’il ne faut pas manger les reins ou le foie des orignaux, car ils peuvent contenir une importante quantité de cadmium qui provient des plantes dont se nourrissent ces animaux.

Le cadmium est un métal toxique. Il s’accumule dans le foie et les reins des consommateurs et son élimination est très lente. Il peut donc entraîner des problèmes de santé à long terme comme des troubles rénaux. Plus un orignal est âgé, plus ses reins et son foie sont susceptibles de contenir une forte concentration de cadmium, car il s’accumule durant toute la vie de l’animal.

Pour plus d'information lire le communiqué de presse.

Le Consortium interrégional de Savoirs en Santé et Services sociaux (InterS4) amorce un nouveau cycle de développement avec le soutien du ministère de la Santé et des Services sociaux et de la Fondation Mirella et Lino Saputo. Cinq ans après la mise en place d’un partenariat entre les CI(U)SSS de l’Abitibi– Témiscamingue, du Bas-Saint-Laurent, de Chaudière–Appalaches, de la Gaspésie et du Saguenay–Lac-Saint-Jean ainsi que de l’UQAC, l’UQAR et l’UQAT, InterS4 va élargir son offre de services à d’autres régions du Québec.

Cliquez ici pour visionner l'entrevue accordée par Mme Annie Carrier, Adjointe à la Direction de la qualité, évaluation, performance et éthique.

 

Un Plan de travail 2022-2024 engagé pour aider à relever les défis en région! Le Plan de travail 2022-2024 du Consortium InterS4 se consacre à plusieurs objectifs, dont les suivants :

  • Faire profiter pleinement ses membres des avantages de recourir aux meilleurs savoirs pour améliorer les manières de faire et en faire bénéficier nos populations ;
  • Assurer un leadership par diverses actions d’intérêt pour la communauté québécoise autour du transfert des connaissances en santé et en services sociaux ;
  • Accroître les collaborations et le partage d’expertise entre chercheurs et acteurs terrain autour d’enjeux régionaux ;
  • Accompagner le déploiement d’initiatives pour bien vieillir en santé dans cinq régions du Québec.

 

Mme Isabelle Malo, PDG du CISSS du Bas-Saint-Laurent jusqu’en décembre dernier, se réjouissait de la mise en œuvre de ce nouveau plan de travail : « Avec l’appui de partenaires prestigieux tel le ministère de la Santé et des Services sociaux et la Fondation Mirella et Lino Saputo, notre Plan de travail 2022-2024 sera l’occasion de mieux faire les innovations concrètes et distinctives soutenues par cette petite équipe à grand impact. »

Ultimement, ce sont les populations des régions desservies qui profiteront de l’amélioration de l’offre de services en santé et en services sociaux rappellent Mmes Caroline Roy et Julie Labbé, respectivement PDG du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue et PDG du CIUSSS du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

 

Pour plus d’informations, consultez le communiqué de presse.

Au printemps prochain, le territoire de la MRC d'Abitibi accueillera une cohorte de 15 infirmiers et infirmières accompagnés de leurs familles. Une opportunité pour le milieu d'accueillir en même temps une cinquantaine de nouveaux citoyens dans un contexte démographique à la baisse depuis quelques années. Cette délégation, provenant de différents pays d'Afrique, a été recrutée dans le cadre du projet de recrutement d'infirmières diplômées hors Canada, projet mis sur pied conjointement par le ministère de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration, le ministère de l'Enseignement supérieur et le ministère de la Santé et des Services sociaux.

 

Proactifs face à la pénurie de main-d'œuvre

Le CISSS de l'Abitibi-Témiscamingue est confronté à une importante pénurie de main-d'œuvre. « Dans la MRC d'Abitibi, présentement, plus de quarante infirmières supplémentaires, représentant 25 % des effectifs infirmiers, seraient requises pour offrir les services comme souhaité à la population de la MRC. En comptabilisant les projections de départs anticipés, dont ceux à la retraite et les embauches prévues, le nombre d'infirmières manquantes sera de plus de 130 ressources en 2025-2026, représentant 69 % des effectifs infirmiers nécessaires » explique Mme Caroline Roy, présidente-directrice générale du CISSS de l'Abitibi-Témiscamingue

 

Cliquez ici pour lire le communiqué de la MRC d’Abitibi.

Mots clés: Aînés , Alimentation , COVID-19

Confinement, limitation des contacts sociaux, interdictions de visites : la pandémie a chamboulé le quotidien des aînés, particulièrement vulnérables à la COVID-19. Ces contraintes ont pu affecter leur moral en plus de compliquer la pratique de l’activité physique et leur approvisionnement en denrées alimentaires fraîches, autant de clés pour le maintien de l’autonomie des aînés. Afin d’outiller les aînés et de mobiliser leur entourage, la Direction de santé publique (DSPu) du Centre intégré de santé et de services sociaux de l’Abitibi-Témiscamingue annonce la distribution du guide « Combattons les effets de la pandémie chez les aînés » dans tous les foyers de la région par l’entremise du publisac.

L’inactivité physique constitue le quatrième facteur de mortalité selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La diminution du niveau d’activité physique peut aussi avoir des effets rapides et néfastes sur la santé physique (diminution de la force musculaire, de l’équilibre, de la mobilité), mais aussi sur la santé mentale (dépression, anxiété) et les fonctions cognitives.

« Ces conséquences peuvent notamment accroître le risque de chutes et la fatigabilité, de même que diminuer les fonctions cardiaques et respiratoires. La participation sociale et l’autonomie des personnes aînées peuvent aussi être affectées », prévient Paul Saint-Amant, responsable du dossier des saines habitudes de vie à la DSPu du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue, ajoutant que la saine alimentation est aussi un moyen de prévenir la perte d’autonomie.

 

Coalition d’acteurs soucieux du bien-être des aînés

Élaboré en partenariat avec des professionnels de la santé et des services sociaux, les organismes communautaires et les associations qui interviennent auprès des aînés, l’outil vise non seulement à prévenir les risques, mais aussi à outiller les aînés et leur entourage pour prendre leur santé en main dans le contexte actuel. Santé mentale, saine alimentation et activité physique y sont abordés. Le guide repose sur des trucs et conseils simples et facilement applicables dans le contexte de limitation des contacts sociaux.

Entraînement léger sur chaise, intégration de l’activité physique dans l’acquittement des tâches ménagères, idées de repas simples et nutritifs, recours aux technologies numériques pour le maintien de liens forts avec l’entourage : voilà autant de trucs qui peuvent facilement être intégrés à la routine et contribuer à diminuer le stress.

« Plier son linge debout à la table de cuisine, passer l’aspirateur, pelleter, marcher, monter des escaliers, danser dans son salon : toutes les minutes d’activité physique comptent, énumère Paul Saint-Amant. Il faut être créatifs et surtout avoir du plaisir à bouger tous les jours! C’est la même chose pour l’alimentation : se faire plaisir contribue aussi à garder le moral. »

Le guide «Combattons les effets de la pandémie chez les aînés» est disponible sur le site Web (cliquez ici pour y accéder)

 

[Communiqué de presse]