Actualités : Communiqués

Mots clés: confinement , COVID

Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de l’Abitibi-Témiscamingue désire informer la population que depuis 00 h 01 cette nuit, les points de contrôle routier de la région de l’Abitibi-Témiscamingue ont été retirés.

Cette décision, prise en concertation avec la Direction nationale de santé publique, découle du fait que la région a enregistré une baisse significative de cas positif au COVID-19, et que cette situation est maintenue depuis plusieurs semaines.

Le CISSS tient tout de même à rappeler que les déplacements interrégionaux doivent être réduits au minimum. De plus, les citoyens doivent continuer de maintenir la distanciation sociale lorsque celle-ci est possible et continuer d’appliquer les mesures d’hygiène et de prévention des infections.

 

[Communiqué]

Mots clés: aînés , alternative , maison , Val-d'Or

Le ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable des régions de l’Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec, Pierre Dufour, annonce aujourd’hui, au nom de la ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, Marguerite Blais, qu’une maison alternative sera construite sur le territoire de Val-d’Or.

Cette maison alternative, qui mettra 48 places à la disposition de la population de la région, sera située sur un terrain adjacent à l’Hôpital de Val-d’Or, sur l’avenue des Érables. Ce site permettra d’offrir aux résidents un milieu de vie à dimension humaine, constitué de quatre unités climatisées de 12 places chacune, et comportant des chambres individuelles avec toilette et douche adaptée pour chaque résident.

Ce nouveau type d’hébergement rappellera davantage un domicile et favorisera les contacts humains ainsi qu’un mode de vie plus actif, entre autres grâce à un accès à des espaces extérieurs aménagés et à des installations intérieures mieux adaptées aux besoins des résidents et de leurs proches. Cette transformation sera aussi bénéfique pour le personnel qui travaille dans ces milieux, et contribuera d’ailleurs à l’attractivité et à la rétention de cette main-d’œuvre.

Citations :

« Notre gouvernement transforme les milieux d’hébergement pour les personnes ayant des besoins spécifiques, et cette construction d’une maison alternative à Val-d’Or démontre notre action dans ce dossier. Ce nouveau standard de qualité améliorera le quotidien des résidents, des proches ainsi que du personnel. »
Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants

« Je suis très fier de pouvoir annoncer aujourd’hui, dans ma circonscription, ce beau projet pour notre collectivité. Notre gouvernement témoigne de son écoute et de sa volonté d’agir concrètement afin d’offrir aux adultes ayant des besoins spécifiques la meilleure qualité de vie possible. Il s’agit d’un véritable gain pour notre région, qui résulte d’un engagement historique de changer les choses de manière durable. »
Pierre Dufour, ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable des régions de l’Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec

Faits saillants :

  • Cette maison alternative s’inscrit dans le cadre d’une démarche de transformation majeure des milieux d’hébergement et de soins de longue durée qui va nécessiter un investissement de plus de 2,6 milliards de dollars de la part du gouvernement du Québec.
  • D’ici la fin de 2022, ce sont 2 600 nouvelles places qui seront construites en maisons des aînés ou en maisons alternatives.
  • Par ailleurs, 2 500 places en CHSLD feront quant à elles l’objet de rénovations ou de reconstructions au cours des prochaines années.
  • Toutes les places prévues ont été déterminées selon une démarche rigoureuse, pour chacune des régions de Québec, par un croisement des plus récentes données de la liste d’attente en hébergement avec les projections du nombre de places supplémentaires qui seront requises dans les prochaines années en raison du vieillissement de la population.

 

[Lien vers le communiqué]

Mots clés: aînés , construction , Palmarolle

Le ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue, Pierre Dufour, et la députée d’Abitibi-Ouest, Suzanne Blais, annoncent aujourd’hui, au nom de la ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, Marguerite Blais, qu’une maison des aînés sera construite dans la municipalité de Palmarolle.

Cette maison des aînés, qui permettra d’accueillir 24 résidents et qui viendra remplacer le centre d’hébergement et de soins de longue durée de Palmarolle, offrira à ses usagers un milieu de vie à dimension humaine, constitué de deux unités climatisées de 12 places chacune, et comportant une chambre pour chaque usager, avec toilette et douche adaptée.

Ce nouveau type d’hébergement, qui rappellera davantage un domicile qu’un milieu institutionnel, favorisera les contacts humains ainsi qu’un mode de vie plus actif, entre autres grâce à un accès à des espaces extérieurs aménagés et à des installations mieux adaptées aux besoins des proches aidants. Cette transformation sera aussi bénéfique pour le personnel qui travaille dans ces milieux, et contribuera d’ailleurs à l’attractivité et à la rétention de cette main-d’œuvre.

Citations :

« Notre gouvernement transforme les milieux d’hébergement pour les aînés et les personnes ayant des besoins spécifiques, et cette construction d’une maison des aînés à Palmarolle démontre notre action dans ce dossier. Ce nouveau standard de qualité améliorera le quotidien des résidents, des familles ainsi que du personnel. »

Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants

« Cette annonce s’inscrit dans le grand virage entrepris par notre gouvernement afin d’offrir les meilleurs soins et services aux aînés et aux personnes qui nécessitent des soins de longue durée. La nouvelle construction à Palmarolle permettra d’offrir aux résidents un milieu de vie chaleureux et confortable, mais aussi sécuritaire et rassurant. »

Pierre Dufour, ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec

« Il s’agit d’un projet fort attendu dans la région, qui permettra aux personnes hébergées de bénéficier des meilleurs soins et services possible, à proximité de leur communauté. L’appui de notre gouvernement démontre de façon éloquente que le mieux-être et la qualité de vie des aînés sont au cœur des priorités, et j’en suis très fière. Soyez assurés que je suivrai les prochaines étapes de la construction de cette maison des aînés avec beaucoup d’intérêt. »

Suzanne Blais, députée d’Abitibi-Ouest

Faits saillants :

  • Rappelons qu’en juin 2018, le CHSLD de Palmarolle a dû être fermé considérant la dangerosité des infrastructures. Les personnes hébergées avaient alors été relocalisées dans les CHSLD de Macamic et de La Sarre. Le nouveau projet vise à maintenir une offre de services en hébergement sur cette partie du territoire.
  • Cette maison des aînés s’inscrit dans le cadre d’une démarche de transformation majeure des milieux d’hébergement et de soins de longue durée qui va nécessiter un investissement de plus de 2,6 milliards de dollars de la part du gouvernement du Québec.
  • D’ici la fin de 2022, ce sont 2 600 nouvelles places qui seront construites en maisons des aînés ou en maisons alternatives.
  • Par ailleurs, dans les prochaines années, 2 500 places en CHSLD feront quant à elles l’objet de rénovations ou de reconstructions, comme c’est le cas pour le projet de Palmarolle.

 

(Lien vers le communiqué)

Mots clés: ambulatoires , Amos , CSA

Le Centre intégré de santé et des services sociaux (CISSS) de l’Abitibi-Témiscamingue a procédé aujourd’hui à l’inauguration du Centre de services ambulatoires (CSA) situé dans les murs de l’Hôpital d’Amos. Ouvert depuis juillet 2019, le CSA d’Amos représente le premier en région. Déjà, près de 1 500 usagers en ont bénéficié et on estime qu’entre 10 000 et 15 000 interventions pourront y être réalisées chaque année.

La mission du CSA est d’offrir à une clientèle adulte et ambulatoire ainsi qu’à une clientèle pédiatrique plusieurs services à caractère diagnostique, thérapeutique et préventif. Notons entre autres :

  • Administration de médication sous-cutanée, intramusculaire ou intraveineuse;
  • Soins de plaie variés;
  • Biopsies et ponctions diverses;
  • Investigation diagnostique cardiaque, neurologique, pulmonaire ou vasculaire, etc.

« On parle de services ambulatoires lorsqu’un usager peut se déplacer, par opposition à l’usager qui doit être admis à l’hôpital ou qui ne peut quitter son domicile », a précisé Évelyne Grenier-Ouimette, directrice générale adjointe et directrice des soins infirmiers au CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue.

 

Des avantages pour les patients, les employés et les médecins

« En regroupant les services ambulatoires, nous offrons à la population un accès plus facile, rapide et coordonné aux soins de 1re ligne. Cette façon d’organiser les services facilite le diagnostic et la prise en charge des usagers et le traitement, sans qu’ils aient besoin d’être hospitalisés ou de se présenter à l’urgence. Lorsqu’une hospitalisation ne peut être évitée, l’accès au centre de services ambulatoires permet de réduire la durée de séjour de l’usager en favorisant son retour dans son milieu naturel le plus rapidement possible tout en lui offrant les soins et services nécessaires à sa condition. Le CSA est aussi bénéfique pour les employés et médecins puisqu’il permet de travailler en interdisciplinarité et de favoriser le développement du plein potentiel des professionnels », a ajouté madame Grenier-Ouimette.

Selon la présidente-directrice générale du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue, Caroline Roy, les citoyens des autres MRC de la région auront eux aussi bientôt accès à un CSA. « Les CSA représentent l’un des moyens priorisés par le CISSS pour favoriser le maintien à domicile des usagers ainsi que l’accès aux services de première ligne. Des projets visant l’implantation dans les autres territoires sont déjà en cours en ce sens », a-t-elle ajouté.

 

(Lien vers le communiqué)