Actualités : Communiqués

Mots clés: Amos , CSA

Le Centre intégré de santé et des services sociaux (CISSS) de l’Abitibi-Témiscamingue a procédé aujourd’hui à l’inauguration du Centre de services ambulatoires (CSA) situé dans les murs de l’Hôpital d’Amos. Ouvert depuis juillet 2019, le CSA d’Amos représente le premier en région. Déjà, près de 1 500 usagers en ont bénéficié et on estime qu’entre 10 000 et 15 000 interventions pourront y être réalisées chaque année.

La mission du CSA est d’offrir à une clientèle adulte et ambulatoire ainsi qu’à une clientèle pédiatrique plusieurs services à caractère diagnostique, thérapeutique et préventif. Notons entre autres :

  • Administration de médication sous-cutanée, intramusculaire ou intraveineuse;
  • Soins de plaie variés;
  • Biopsies et ponctions diverses;
  • Investigation diagnostique cardiaque, neurologique, pulmonaire ou vasculaire, etc.

« On parle de services ambulatoires lorsqu’un usager peut se déplacer, par opposition à l’usager qui doit être admis à l’hôpital ou qui ne peut quitter son domicile », a précisé Évelyne Grenier-Ouimette, directrice générale adjointe et directrice des soins infirmiers au CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue.

 

Des avantages pour les patients, les employés et les médecins

« En regroupant les services ambulatoires, nous offrons à la population un accès plus facile, rapide et coordonné aux soins de 1re ligne. Cette façon d’organiser les services facilite le diagnostic et la prise en charge des usagers et le traitement, sans qu’ils aient besoin d’être hospitalisés ou de se présenter à l’urgence. Lorsqu’une hospitalisation ne peut être évitée, l’accès au centre de services ambulatoires permet de réduire la durée de séjour de l’usager en favorisant son retour dans son milieu naturel le plus rapidement possible tout en lui offrant les soins et services nécessaires à sa condition. Le CSA est aussi bénéfique pour les employés et médecins puisqu’il permet de travailler en interdisciplinarité et de favoriser le développement du plein potentiel des professionnels », a ajouté madame Grenier-Ouimette.

Selon la présidente-directrice générale du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue, Caroline Roy, les citoyens des autres MRC de la région auront eux aussi bientôt accès à un CSA. « Les CSA représentent l’un des moyens priorisés par le CISSS pour favoriser le maintien à domicile des usagers ainsi que l’accès aux services de première ligne. Des projets visant l’implantation dans les autres territoires sont déjà en cours en ce sens », a-t-elle ajouté.

 

(Lien vers le communiqué)

Mots clés: Biosurveillance

À la suite d’une rencontre avec les membres du comité consultatif de suivi de l’étude de biosurveillance du quartier Notre-Dame, la Direction de santé publique (DSPu) du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de l’Abitibi-Témiscamingue souhaite informer l’ensemble de la population de l’état d’avancement du plan d’action en lien avec l’étude de biosurveillance 2019-2020.

 

Étude biosurveillance 2019-2020

Une nouvelle campagne de biosurveillance auprès de tous les citoyens du quartier Notre-Dame (QND) a eu lieu en octobre dernier. Lors de cette campagne, plus de 300 résidents de tous groupes d’âge ont participé. Comme lors de l’étude précédente, l’exposition à l’arsenic des participants a été mesurée à partir de l’analyse de leurs ongles et la population témoin a été établie à Amos.

L’analyse de l’échantillonnage d’ongles est en cours et la transmission des résultats aux participants est prévue à la fin mars. Cette étape sera suivie, dans les semaines suivantes, d’une rencontre avec l’ensemble des participants afin de présenter les résultats globaux de l’étude et de répondre à leurs questions.

 

Pourquoi dans les ongles ?

La biosurveillance de l’arsenic peut se faire par l’analyse de différentes matrices biologiques, dont l’urine et les ongles. L’arsenic urinaire témoigne de l’exposition très récente de la population. Ainsi, l’arsenic urinaire est un biomarqueur fiable lorsque la source environnementale suspectée est constante et que l’exposition est continue.

Le choix de mesurer l’arsenic unguéal s’explique par le fait qu’il permet d’évaluer une exposition passée à des concentrations variables représentant une période de quelques semaines, explique

Dre Lyse Landry, directrice de santé publique du CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue.
L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) est d’avis que l’usage des ongles est suffisant et adéquat pour documenter l’exposition du contexte qui prévaut à Rouyn-Noranda. C’est pourquoi la DSPu a décidé de s’en tenir uniquement à la mesure de l'arsenic dans les ongles, pour documenter l'exposition à l’arsenic de la population du QND. L’arsenic mesuré dans l’urine ou les ongles ne permet pas de prédire les maladies associées à l’exposition.

 

Échantillonnage des sols du périmètre urbain de Rouyn-Noranda

La DSPu a procédé à l’échantillonnage des sols dans de différents points répartis dans le périmètre urbain de la ville de Rouyn-Noranda. L’objectif de cette campagne est d’évaluer l’impact du panache des cheminées de la Fonderie Horne sur la qualité des sols en milieu habité. Les données recueillies nous permettront de mieux informer les citoyens de la ville qui se sont montrés préoccupés par la situation au-delà du quartier Notre-Dame. Les résultats seront diffusés au printemps.

Calendrier :

Période viséeÉtape(s) de l'étude de biosurveillance 2019-2020
Printemps 2020
  • Communication des résultats de l’étude de biosurveillance aux citoyens du QND;
  • Présentation aux membres du comité consultatif de suivi de l’étude;
  • Communication à l’ensemble de la population de la ville.
Juin 2020
  • Campagne de biosurveillance de l’arsenic auprès des enfants qui fréquentent le quartier, mais n’y résident pas.
Automne 2020
  • Communication des résultats aux participants pour la campagne des enfants qui fréquent le quartier, mais qui n’y résident pas;
  • Présentation aux membres du comité consultatif de suivi;
  • Communication de l’ensemble des résultats à la population.

 

[Lien vers le communiqué]

Mots clés: TEP-Scan

Le ministre Pierre Dufour inaugure un nouvel appareil de tomographie par émission de positons à l'Hôpital de Val-d'Or

 

Le ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec, Pierre Dufour, a procédé aujourd’hui, au nom de la ministre de la Santé et des Services sociaux, Danielle McCann, à l’inauguration d’un appareil de tomographie par émission de positons combiné à un tomodensitomètre (TEP-TDM) implanté à l’Hôpital de Val-d’Or.

Les travaux réalisés dans le cadre de ce projet incluent un réaménagement de 130 mètres carrés nécessaires à l’implantation de l’appareil, en plus d’un agrandissement de 230 mètres carrés. Une enveloppe budgétaire de 3 832 000 $ a été accordée au Centre intégré de santé et de services sociaux de l’Abitibi-Témiscamingue pour effectuer les travaux, en plus d’une somme de plus de 3 M$ pour le coût de l’appareil. Le tout a été entièrement financé par le ministère de la Santé et des Services sociaux.

 

Citations :

« L’arrivée de cet appareil de pointe à l’Hôpital de Val-d’Or représente un véritable gain pour la population. En effet, cela contribue à donner un meilleur accès à des services diagnostiques de haute précision, et ce, à proximité des usagers, permettant par le fait même de réagir rapidement et de proposer des traitements encore mieux adaptés à la condition de chaque patient, dans des délais optimisés. »

Danielle McCann, ministre de la Santé et des Services sociaux

« Je me réjouis de l’appui qu’a reçu ce projet de la part du ministère de la Santé et des Services sociaux. Cela témoigne des efforts réels qui sont faits pour répondre aux besoins de chaque communauté, et tout particulièrement de celles qui sont établies dans des secteurs couvrant de vastes territoires. Les personnes qui y résident ont besoin du meilleur accès possible à certains services de pointe qui permettent une prise en charge rapide et qui améliorent de manière notable la qualité des soins reçus et leur efficacité. »

Pierre Dufour, ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région du Nord-du-Québec

Faits saillants :

  • Rappelons que l’appareil servira à répondre aux besoins de différentes spécialités, dont la cardiologie, la neurologie, la cancérologie et la radio-oncologie.

 

[Lien vers le communiqué]

Mots clés: CHSLD , Grippe , Influenza

Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de l’Abitibi-Témiscamingue désire informer la population qu’en raison d’une éclosion de grippe (influenza) au CHSLD de Senneterre, les visites y sont limitées.

Plusieurs résidents de cette unité sont atteints par le virus. Afin de protéger la population, les autres résidents ainsi que ses employés, le CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue précise que seules les visites humanitaires (pour les résidents recevant des soins de fin de vie) ainsi que celles visant la collaboration aux soins seront permises. Les visiteurs se présentant pour ces raisons devront respecter les consignes strictes quant aux mesures de précautions, incluant l’hygiène des mains.

Rappelons qu’une personne qui présente des symptômes d’allure grippale ne devrait en aucun temps visiter une personne hébergée en CHSLD.

Le CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue vous remercie à l’avance de votre précieuse collaboration. Un nouveau communiqué sera émis lorsque la situation reviendra à la normale.

 

[Communiqué de presse]