Actualités : Jeunesse

Mots clés: Famille , Jeunesse

L'objectif de ce projet est de développer un service de première ligne solide et bien connu du public et des partenaires. La DPJeu vise à coordonner les services autour de l'enfant et de sa famille pour éviter le recours à la protection de la jeunesse. Cette année, 5 245 usagers ont été inscrits dans les services de première ligne jeunesse.

Les équipes de la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) et du Programme jeunesse ont travaillé ensemble pour améliorer la prise en charge des jeunes et de leurs parents. Une spécialiste en activité clinique a été recrutée pour aider les intervenants du Réseau territorial de services à orienter les signalements vers les services appropriés. Un nouveau projet, appelé Triage, a été mis en place pour traiter les signalements d'abus sexuels, de violence physique et de négligence grave. Cette équipe, composée de membres de la DPJ, de collaborateurs judiciaires et de policiers, examine chaque matin les dossiers signalés et coordonne les interventions dans l'intérêt de l'enfant. Environ 800 dossiers seront traités chaque année par l'équipe Triage.

Mots clés: Famille , Jeunesse , Recrutement

Tommy Guillemette, directeur adjoint à la Direction de la protection de la jeunesse, souligne l'urgence des besoins. La nécessité de familles d'accueil se fait sentir dans toutes les MRC et pour tous les groupes d'âge, en particulier pour les adolescents. Actuellement, la région dispose de 30 places réparties sur une centaine de kilomètres, mais ces places sont déjà très sollicitées.

France Caron, chef de service hébergement ressources intermédiaires et ressources de type familial, indique que sur les 30 places disponibles, une seule est actuellement libre pour accueillir un adolescent âgé de 13 à 17 ans. Les familles d'accueil ont la possibilité de choisir le type de clientèle qu'elles souhaitent accueillir, qu'il s'agisse de bébés, d'enfants d'âge primaire ou d'adolescents.

M. Guillemette et Mme Caron ont d’ailleurs abordé ce sujet lors d’une entrevue à l’émission des Matins en or : https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/des-matins-en-or/segments/rattrapage/500717/centre-jeunesse-protection-enfants-hebergement

Julie Boudreau s'occupe d'un enfant atteint d'une déficience depuis huit ans. Cet enfant est arrivé dans sa famille alors qu'il n'était qu'un bébé de quelques mois. Le placement de cet enfant a été initié pour venir en aide aux parents biologiques, et au fil des années, cet enfant est devenu un membre à part entière de la famille Boudreau, étant considéré au même titre que les autres enfants de la famille.

« On a des intervenantes au niveau des enfants, on a des intervenants pour nous, témoigne-t-elle. Si on a besoin de parler, d’évacuer, on a des intervenants qui sont disponibles. On a de l’aide financière aussi pour répondre aux besoins des enfants si on a besoin d’adaptation. Si jamais, par exemple, il y a des bris dans nos maisons, le CISSS-AT va venir pallier et payer les coûts de réparation. »

Julie Boudreau, ressource de type familial (famille d’accueil de proximité)

https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/des-matins-en-or/segments/rattrapage/501551/protection-enfants-recherche-hebergement-temoignage

L’objectif est de trouver plusieurs nouvelles familles prêtes à accueillir des enfants de 0 à 17 ans, afin d'assurer des jumelages adaptés et de maintenir les enfants près de leur milieu de vie. Votre soutien est indispensable pour répondre à ces besoins pressants.

Vous envisagez de devenir famille d'accueil et d'offrir un environnement stable à un jeune en difficulté? Vous êtes prêt à entreprendre les démarches pour ouvrir votre foyer? Le CISSS de l’Abitibi-Témiscamingue recherche des personnes, qu'il s'agisse de familles, de couples ou de personnes seules, dans toutes les municipalités de la région. L'objectif est de maintenir chaque enfant dans sa communauté.

 Ce défi vous intéresse?

 Pour plus de renseignements ou pour devenir famille d’accueil jeunesse : 819 762-5599, poste 49283

 Courriel : acceshebergementrtf@ssss.gouv.qc.ca

Site Web : https://www.cisss-at.gouv.qc.ca/devenir-famille-daccueil/

Mots clés: Jeunesse

Saviez-vous qu’environ 30 % des cas gérés par le Centre antipoison du Québec sont liés à des expositions accidentelles chez les enfants âgés de 0 à 5 ans?  Bien souvent lorsque pense aux produits à risque on associe immédiatement les médicaments. Cependant plusieurs produits sont tout aussi dangereux. Vous croyez être bien protégé? Parfois les changements de routine comme les vacances constituent aussi un risque.  Il est donc impératif d’agir pour prévenir ces incidents d’empoisonnement. Consultez la fiche d’informations Centre antipoison du Québec et l'Institut national de santé publique qui présente quelques trucs faciles pour protéger les enfants des intoxications et pour rendre votre maison sécuritaire.

Rappelez-vous qu’en cas d’empoisonnement, vous pouvez appeler le centre antipoison au 1 800 463-5060.

Si votre enfant perd connaissance ou a du mal à respirer, appelez le 911.

Pour plus d’informations :

Site Internet du Centre antipoison du Québec
Accueil | Institut national de santé publique du Québec (inspq.qc.ca)

Mots clés: Jeunesse , Santé dentaire

Le programme québécois de scellants dentaires à l'école primaire et secondaire se poursuit, et le CISSS et l'Abitibi-Témiscamingue est fier d’atteindre une excellente couverture auprès de la population visée, soit les jeunes âgés de 7 et 13 ans.

À l'école primaire, en 2022-2023, c'est 93 % des élèves de 2e année du primaire qui ont été dépistés pour le besoin de scellants dentaires. Parmi les élèves ayant un besoin de scellants, c'est 91 % des élèves qui en ont bénéficié.

À l'école secondaire, en 2022-2023, c'est 82 % des élèves de 2e année du secondaire qui ont été dépistés pour le besoin de scellants dentaires. Parmi les élèves ayant un besoin de scellants, c'est 70 % des élèves qui ont reçu leurs scellants. Afin de maintenir et d’assurer une bonne couverture, la Direction de santé publique encourage les élèves à retourner leur formulaire de consentement signé afin d'obtenir le service.

On ne peut passer sous silence que ces résultats sont le fruit d'une grande organisation de travail de la part des hygiénistes dentaires de santé publique de la région.